Comme tout objet volant, cet appareil est soumis aux aléas de la météo, et plus particulièrement au vent. En fonction de sa direction, des rafales et de sa force, il faudra effectivement adapter votre façon de piloter votre engin radiocommandé. À partir de quel moment peut-on dire que le vent est trop fort pour mon appareil ? Réponse dans cet article !

Voler par vent fort, dans quelle situation ?

Les dernières versions Dronetech Europe disponibles sur le marché sont extrêmement solides. Ceux-ci peuvent alors supporter les vents forts et voler tranquillement et en toute sécurité. Cependant, il faut tenir compte de certaines spécifications de l’appareil. En terme général, cet engin téléguidé peut voler dans des vents correspondants aux deux tiers de leur vitesse maximale. En effet, dans le cas où le vent est plus fort que cette valeur,  il ne serait probablement pas recommandé de voler votre drone. Lors de ces conditions, vous courrez potentiellement de réels risques.

En outre, il existe plusieurs types de drones commercialisés qui possèdent des caractéristiques techniques supérieures. Ces derniers peuvent donc voler dans certains climats et conditions sans le moindre problème. Cela dit, les engins téléguidés peuvent effectivement voler dans des journées particulièrement venteuses. Toutefois, cela dépend de la rigidité et de la capacité du drone à supporter la vitesse du vent.

La vitesse maximale qu’un drone peut encaisser

L’un des points à prendre absolument en considération avant de voler un drone est que ces engins sont avant tout des appareils électroniques qui ont des limites. Cela signifie que, peu importe le prix et le degré de technologie embarquée dans le drone, il s’agit toujours d’un appareil téléguidé limité.

Après tout, les petits avions sans pilote ne sont pas tous égaux en termes de performance. D’ailleurs, on peut trouver certains appareils qui sont capables de voler dans des vents plus forts, tandis que d’autres sont capables de voler uniquement en intérieur ou dans des conditions normales et stables.

Après tout, tous les drones ne sont pas égaux, dans le sens où certains sont capables de voler dans des vents plus forts, tandis que d’autres peuvent simplement voler en intérieurs ou dans des conditions de vent léger ou normal. À noter également que les drones dotés d’hélices plus grandes peuvent, généralement, voler à des vitesses de vent de 50 km/h, voire plus.

Quoi qu’il en soit, il est toujours préférable de s’assurer que vous ne volez pas votre drone à des vitesses supérieures à 55 ou 60 km/h. À savoir que vous ne pourrez peut-être pas aller au-delà de 50 si vous n’êtes pas expérimenté dans le contrôle de drone. Comme ça, vous risquez d’endommager votre appareil, voire le perdre complètement. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de ne pas voler votre engin lorsque les vents sont plus forts que 40 km/h.

Comment savoir la vitesse exacte que peut supporter mon drone ?

Pour répondre à cette question, il faut d’abord savoir qu’il n’y a pas de science exacte derrière cette règle. Cependant, plusieurs experts et passionnés de drone respectent quelques gestes de sécurité lorsqu’ils font voler leurs appareils par temps venteux. À titre d’exemple, si le drone peut voler à une vitesse maximale de 50 km/h, il sera probable qu’il pourra supporter des vents de 15 à 20 km/h au maximum.

Pour plus de sécurité, il est très apprécié de suivre la règle des deux tiers, mentionnée ci-dessus, pour ne jamais risquer de perdre votre drone à cause des vents forts. En contrepartie, il existe des drones qui peuvent atteindre environ 72 km/h en mode sport. Ceux-ci peuvent facilement encaisser des vents allant jusqu’à 50 km/h. Donc il est crucial de tenir compte de ces gestes de sécurité et de vous renseigner avant de faire voler votre appareil en temps venteux.